lundi 24 juin 2013

Les Vacances....

De retour très bientôt dans une nouvelle ferme-verte près de chez-vous.  Soyez profiteurs cet été et prenez du soleil!!!!

Xxxx

Documentaire a voir

J'adore les documentaires.  Voici ceux que j'ai récemment visionné.

Le premier: http://www.encyclovideo.net/nos-enfants-nous-accuseront.html


Et le second:
http://www.encyclovideo.net/le-monde-selon-monsanto.html


Je suis de celles qui cherche à divulguer de l'information pertinente libre.  Pour que tous et chacun en fasse sa propre opinion et prennent des choix censés qui touchent leur réalité.

Bons visionnements!!!






mardi 18 juin 2013

Direction: soleil levant...

Le titre parle de lui-même.  Mon radeau est parti à la dérive sans trop savoir dans quelle direction j'irai, mais l'avantage, c'est que j'ai le pouvoir de me tourner et de dire que je vais vers l'avant.  Voici une brève idée de ce que je traverse.  À ce jour, le vent se lève dans la bonne direction et le soleil se lève.  Tout laisse présager que le meilleur est a venir!!!!!

Voilà que ma vie est partie à la dérive sans trop savoir ou cette aventure me mènera, mais dans toute aventure, il y a de bons et de moins bons moments. Alors, suffira d'être assez à l'affût pour esquiver les rochers sur la route.  
C'est drôle comment notre corps, notre tête et même nos mouvements sont affectés lorsque nous sommes en amour.  Avez-vous déjà remarqué?  Sans doute.  
Hé oui! Vous commencez à comprendre pourquoi mon petit bateau a pris le large, bien qu'il était dans un tourbillon depuis un bon moment.  Je tentais d'agripper quelque chose pour me tirer de là et un bon jour, j'ai senti quelque chose me toucher et sans hésiter, je m'y suis agrippée.  Je savais au plus profond de moi-même que c'était le temps de sortir, quitte à laisser aller quelques réserves et souvenirs dont je tenais.  En agrippant la corde, je senti une grande force et une belle énergie qui me venait en aide.  Je me suis vite rendu compte qu'une personne attachante me venait en aide.  Il n'était pas là par hasard.  Malheureusement, son bateau avait été décroché pendant la nuit et il dérivait à sa façon.  

J'ai rencontrer quelqu'un tout bonnement comme ça par une soirée fraîche de printemps.  Il venait pour la formation de notre comité pour la défense des animaux de basse-cour.  Plus la soirée avançait, plus ce joli monsieur aux cheveux foncés me plaisait.  J'aimais sa façon de dire les choses, son ton direct et décidé.  Un regard vif avec un soupçon de passion, hum!! Un pur délice à regarder.  Essayant de me convaincre que nous sommes là pour parler business, je surpris ma langue se glisser tout doucement sur mes lèvres tout en posant mon regard sur lui.  Oh la boulette!!! Petit subconscient inconscient,mais qu'à tu fais?  Tu viens de me trahir et tu as sûrement éveillé des soupçons chez l'hôte!!!  Pour le reste de la soirée je tenais mon petit subconscient par la peau du cou et il était mieux de rester tranquille.  
Les jours passèrent et comme j'avais beaucoup de choses en pleines actions comme toujours, j'avançais dans mes dossiers sans trop d'arrières pensées.  Comme le comité devait se revoir pour éclaircir quelques points, ce trop mignon monsieur s'offrit pour faire la rencontre dans son humble demeure.  Je devais me présenter quelques dizaines de minutes avant les autres pour régler des choses côté juridique qui m'appartenait.  En arrivant, je me heurte à se beau jeune homme et s'est trois merveilleuses filles.  Aussitôt, entré, il me dit de m'installer, qu'il doit sauter dans sa douche et qu'il vient juste d'arriver du boulot. Outch!  Une douche! Et moi qui a le subconscient fuyant, je dois donc garder le tout sous double verrous pour ne pas me mettre dans de beau draps.  Quoi que...des beau draps....!!!  Oups! Reprenons le fil de l'histoire.  Les autres membres arrivent, tout ce déroule bien, les gens se plaisent à parler des dossiers et d'autres choses, mais moi je tente désespérément de retenir cette fichue petite bête en cage qui a juste le goût de calmer son désir en prenant une méchante grosse bouchée du petit apetizer qui se trouve sous son nez.  Aller, la soirée achève, courage, il ne reste que quelques trucs et on peut partir.  Ouff!!!saine et sauve.  J'ai réussi à retenir le tout, malgré quelques fuites.  En espérant que tout soit passé inaperçu cette fois.  
Pendant le semaines qui a suivi, nous avons dû travailler ensemble par réseau internet.  Soudain, que vois-je des incontinences assez flagrantes de monsieur et madame subconscients!!!  Nous devons mettre tout ça au claire au plus vite.  Rapidement, nous arrivons dans le même cour d'eau.  Deux radeaux chambranlants, quatres naufragés et cinq petites bouées d'accrochées derrière, sont à la dérivent.  Faut quand même pas chercher de midi à quatorze heure pour voir que nous avons beaucoup de plaisir et d'affinités, mais quelle pagaye.  Imaginez si le vent se lève.  Nous aurons droit à toute une catastrophe.  Alors, essayons de rester sage en priant que le soleil continue de briller et que le vent ne souffle qu'une légère brise, juste assez pour nous faire avancer.  
Les jours passèrent, le subconscient transformer en un subconscient affirmé, mon radeau frappa un premier rocher.  Par chance, pas trop de dommage, on devrait être capable de continuer à avancer sans crainte, mais voilà qu'un autre rocher venu tout droit de nulle part, écorche le radeau.  Bien apeuré de nous voir rester au beau milieu de nulle part, je me dépêche de rafistoler les dommages causés et nous continuons à dériver.  
Quand soudain, j'aperçois la terre au loin.  Enfin, nous arriverons sûrement bientôt.  Même avec toutes les meilleures intentions du monde de vouloir me mettre les pieds sur la terre ferme, n'as pas empêché le vent se lever pour faire tourner le radeau et m'éloigner du rivage.  
Difficile de voir les espoirs de revenir parmi la civilisation s'envoler et rien ne sert de se battre contre le courant pour dépenser de l'énergie inutilement. 
Je me suis permis de pleurer en voyant que la vie avait encore des étapes à me faire franchir avant de pouvoir être suffisamment forte pour affronter le monde et y construire mon petit nid de positivisme et d'amour.  Après avoir sécher mes larmes et laisser retomber la poussière, j'ai décidé de me reposer un bon coup et laisser le temps au vent de terminer son souffle et s'épuiser de par lui-même.  Ça me donnera le temps de reprendre des forces et de prendre conscience de mes valeurs fondamentales que je croyais maîtriser, mais je dois me mettre à l'évidence qu'il restait encore du travail.  
Finalement, le fait de devoir revenir à l'arrière fera que mes valeurs seront encore plus justes et ancrées plus solidement.  Avec du recule, on peut constater que la vie est merveilleusement bien faite lorsque nous prenons le temps d'écouter notre petite voix intérieure et les échos subtiles qui viennent du rivage. 

samedi 15 juin 2013

Ondes electromagnétique(compteur intelligent)


INFORMEZ-VOUS....MOI J'Y SERAI!!!!ONDES ÉLECTROMAGNÉTIQUE 

16 JUIN À 10:00 am
Québec, 16 juin 2013 – Conférence avec Stéphane Bélainsky – 10h
Devant l’ajout constant de dispositifs émettant des rayonnements électromagnétiques, devant l’augmentation fulgurante du nombre de citoyens devenus intolérants à ces ondes nocives, M. Bélainsky est demandé partout à travers le Québec afin de donner des conférences, de faire des
expertises et de conseiller sur le sujet.

• Que sont ces ondes électromagnétiques ? Où les trouve-t-on ?
• Quel est l’état des connaissances actuelles en regard à notre santé et celle de nos proches ?
• Comment la santé publique nous protège et comment vous pouvez vous en protéger ?
• Comment rester branché tout en protégeant notre famille ?

Toutes les réponses à ces questions, et à bien d’autres, seront données lors de cette rencontre qui aura lieu à :

L’ACADÉMIE DE DANSE ORIENTALE DE QUÉBEC
4635-1ère Avenue – Salle 035 (coin 46e Rue, sous le restaurant Subway)
Québec, G1H 2T1

Réservez votre place au (418) 627-2039

APPORTEZ VOTRE CHAISE ET LAISSEZ VOTRE CELLULAIRE À LA MAISON

Entrée : 10$

lundi 10 juin 2013

En vidéo, l'histoire de la fermette


 Bonjour à tous,

Voici le lien YOUTUBE pour voir le vidéo de mon projet de fermette.

Bon visionnement!


http://m.youtube.com/watch?v=IaqTsMqNMwU

Passez une merveilleuse journée!!!!

samedi 8 juin 2013

L'eau: hydratation saine, pure et bénéfique





L'eau comme remède : c'est vraiment aussi simple

La plupart des Américains se lèvent le matin et commencent à boire du café. Le café graduellement fait place aux boissons gazeuses et autres breuvages sucrés pour le dîner. Les soirées impliquent plus de boissons gazeuses ou des breuvages alcoolisés. Nous nous sommes déplacés si loin des rythmes naturels de la vie que la plupart d'entre nous boivent rarement, sinon jamais, d'eau. Ceux qui boivent de l'eau n'en boivent pas assez pour contrebalancer les très déshydratants cafés, sodas et breuvages alcoolisés. L'eau est le moyen par lequel les nutriments sont amenés à nos cellules et par lequel les déchets en sont retirés. Le gros bon sens est donc de comprendre que les corps privés en eau sont plus vulnérables aux toxines et pathogènes. Il est, par conséquent, tout aussi logique de conclure que les corps adéquatement hydratés seront plus résistants aux ravages des agents chimiques et des maladies. Alors, à votre santé. 

Une des premières choses que nous recommandons lorsque quelqu'un nous approche avec une maladie commune ou une condition de santé chronique est de commencer à boire beaucoup d'eau propre et purifiée. Les résultats que les gens obtiennent la majorité du temps sont surprenant même pour eux. Qui dans le monde moderne penserait que la plupart des maux sont les résultats de la déshydratation? 

Bob Butts croit que si les gens buvaient simplement suffisamment d'eau chaque jour, ils pourraient se débarrasser de la plupart des maux, incluant l'asthme, les allergies, les dépressions, les cancers, l'Alzheimer, la sclérose en plaques, et la dystrophie musculaire. 

Butts, 65 ans, est un dévoué de ce que ces partisans appèlent l' "eau comme remède" - définie dans un livre de 1992 "Votre corps réclame de l'eau, effets méconnus de la déshydratation" [version originale : "Your Body's Many Cries for Water"]. L'auteur, le Dr. Fereydoon Batmanghelidj, clame que les maladies dégénératives et d'autres maux sont simplement le résultat de la déshydratation. 




Le remède? Divisez votre poids corporel en deux et buvez cette quantité d'onces d'eau par jour. Abstenez-vous de consommer de la caféine. Ajoutez une demi cuillère à thé de sel de mer à votre diète quotidienne. 

Mettre cette technique en pratique, affirme Batmanghelidj, peut prévenir et soigner l'asthme, l'arthrite, les maux de dos, les migraines, la haute pression sanguine, les douleurs cardiaques, les dépressions, la sclérose en plaques, la dystrophie musculaire et quantité d'autres maladies. 

Le traitement à l'eau effectue "des miracles", gagnant des témoignages, et obtenant une forte réponse de la part des auditeurs de tribunes de radio commerciales. Dans les dernières années, Butts dénote que la réponse a été effarante. Butts fournit une bonne quantité d'informations documentées et de témoignages au www.watercure.com

Les objections de l'establishment médical découlent principalement d'un conflit d'intérêt. Le traitement à l'eau est si simple, économique, sensé et direct, que si les gens étaient dirigés vers cette solution pour leurs maux générés par la déshydratation, ce serait une sérieuse épine dans le pied à l'approche de soins de santé basés sur le profit de l'industrie pharmaceutique. 

Le principal reproche des docteurs médicaux face au traitement à l'eau est le manque d'études cliniques (que suggéreriez-vous comme placebo de remplacement pour l'eau?), alors que le financement pour de telles études provient habituellement en grande partie de la très lucrative industrie pharmaco-médicale qui n'est pas intéressée à fournir des preuves appuyant les alternatives de santé. De telles preuves ne génèreraient aucun profit, et même, sans aucun doute, ferait diminuer les profits (et encore plus important, menaceraient le stabilité de l'image du paradigme médical conventionnel). 




"La science est là", a fait remarquer le Dr. Batmanghelidj dans une entrevue radio récente. "Mais nous n'avons pas accès à une science correcte. Nous avons une science institutionnalisée qui nous mènera directement à l'industrie pharmaceutique." 

Ce manque d'acceptation médicale répandue a ralenti l'acceptation du public face au traitement à l'eau comme remède pour soigner leurs maux et améliorer leur santé, mais la prise de conscience du gros bon sens des bénéfices évidents de l'eau prend racine et grandit. Alors que les témoignages de rémission s'accumulent, l'évidence de l'efficacité devient de plus en plus indéniable. De façon croissante, plus de gens sont prêts à essayer cette alternative simple, économique et efficace lorsqu'ils ne sont pas satisfaits des "remèdes" pharmaceutiques. 

Le traitement à l'eau est proposé pour littéralement soigner les symptômes de la déshydratation. Mais il s'agit de plus que cela. Comme pour plusieurs activités, alimentations ou suppléments de santé, le traitement à l'eau est une "diète pour la vie" - un mode de vie qui augmente et maintient la santé, dans l'ensemble et perpétuellement. Vous pouvez l'utiliser comme "remède" ou comme prévention, mais dès que les bénéfices évidents sont réalisés vous pouvez continuer à profiter d'une bonne condition de santé simplement en continuant de boire de l'eau. Comment cela peut-il être difficile? 

Pendant plusieurs années, nous avons entendu dire qu'il est bon pour la santé de boire "X" nombres de verre d'eau par jour pour rester en santé. Les médecins traitants (qui ont un intérêt certain dans le fait que vous soyez malade, et qui, dans les faits, si ce n'est intentionnellement, jettent des punaises sur la route pour qu'ils puissent vous vendre des réparations de pneus dans leurs petits ateliers en bordure de la route), ont suggéré que le mécanisme de soif du corps humain est suffisant pour répondre au besoin d'humidité du corps. "Buvez lorsque vous avez soif ou la bouche sèche, ou, autrement, lorsque il y a une évidence tangible et subjective que votre corps à besoin d'eau", disent-ils, sans toutefois mentionner que plusieurs maux et plusieurs conditions corporelles (cernes sous les yeux, par exemple) sont des symptômes de déshydratation chronique. 

En plus d'effectuer des recherches sur l'usage d'eau du corps au niveau cellulaire, le Dr. Batmangheldi a établi une façon de déterminer quelle quantité nous devons boire, individuellement, selon notre propre poids. Divisez votre poids corporel en deux et buvez cette quantité d'onces d'eau par jour. Ceci est facile à figurer, et évite le "passe-partout" du nombre "X" de verres par jour pour tous. Il a aussi découvert que nous devrions ajouter une pincée de sel à l'eau que nous buvons pour pouvoir balancer les sels minéraux dont le corps a besoin (et, spécifiquement, ajouter du sel de mer, qui est balancé pour l'"océan" interne du corps humain). 

Une des questions qui est soulevée par les sceptiques sensibles est "Comment se fait-il que nous en soyons venus à être si déshydratés de nos jours, au point d'avoir tellement de maux, de maladies et de symptômes qui sont causés par la déshydratation?" Nous n'avons pas cessé de boire des fluides, et nous n'avons pas nécessairement non plus diminué notre apport en fluides, alors que se passe-t-il ici? 

En fait, nous buvons beaucoup de breuvages qui ne sont pas de l'eau. Et la plupart de ces fluides, tels que les breuvages avec caféine (thé, café, liqueurs douces noires), les liqueurs douces, l'alcool, de même que plusieurs jus débalancent l'équilibre interne des fluides. Pour chaque 8 onces de café, par exemple, nous devons absorber 12 onces d'eau, additionnellement, pour compenser - pour rétablir l'équilibre. Mais, si nous ne prenons pas cette eau additionnelle, alors notre corps utilise ses réserves d'eau (en provenance des articulations et cellules) pour éliminer la caféine, ce qui veut dire que nous nous retrouvons avec une perte nette de fluides dans le corps pour chaque tasse de café que nous consommons. Les autres "substituts à l'eau" ont un effet similaire (dans des proportions différentes) de diminution ou déshydratation des réserves. Plus nous consommons de fluides n'étant pas de l'eau, plus nous amenuisons nos niveaux corporels de liquide, à cause des efforts soutenus du corps pour maintenir un équilibre d'eau saline à l'intérieur et à l'extérieur des cellules. 

L'augmentation de la plupart des maladies modernes concorde avec la popularisation des breuvages alternatifs. Ceci est un phénomène historique observable en rapport à la majorité de la nutrition. Il y a cent ans de cela, tous mangeaient de la nourriture simple, organique et non transformée, et buvaient de l'eau comme leur principal breuvage courant. Nous étions trop "pauvres" ou technologiquement "dépourvus" pour être en mesure d'infliger beaucoup de dommages nutritionnels à notre santé - les choix dommageables, s'il y en avait, étaient soit disponibles en quantité limitée ou simplement trop dispendieux pour être consommés excessivement. 

Nous consommons possiblement une quantité similaire de breuvages fluides à ce que nous avons toujours absorbé, guidé simplement par notre mécanisme de soif, mais nous consommons maintenant des liquides que ne supportent pas le corps humain, et ces besoins interne pour un équilibre d'humidité. Notre "soif" est satisfaite par ces breuvages qui ne sont pas de l'eau, mai nos corps continuent de crier pour nous faire savoir qu'il manque toujours d'eau. 

Une autre question qui se présente fréquemment chez les gens envisageant d'augmenter leur absorption d'eau (différent de simplement absorber plus de breuvages) est la préoccupation pour un besoin d'uriner plus fréquent - autant en ce qui concerne la possibilité d'un amenuisement des réserves de minéraux, qu'en ce qui concerne les simples inconvénients que cela amène. 

Lorsque j'avais 12 ans, je me suis fait dire dans une de mes classes de biologie que, pour une santé optimale, nous devrions boire 6 verres d'eau pas jour. Bien sûr, j'avais 12 ans. Alors, j'ai fait ce que tout jeune garçon de 12 ans aurait fait : à l'heure du dîner, j'allais boire les 6 verres d'eau, l'un après l'autre. Pour le reste de l'après midi, passé en classe, il y avait l'agonie de devoir "faire un nœud", à répétition. 

En tant qu'adulte, j'ai plus de contrôle sur le moment où je dois aller à la toilette (sans avoir à lever la main pour demander la permission), mais, tout de même, je grimace dès que je me souviens de cette "expérience". Je ne veux pas que mon corps me fasse autant de demandes inéquivoques et perpétuelles. 

Lorsque j'ai réapprivoisé "l'eau comme remède" plusieurs années plus tard, c'était avec trépidation. Ce qu'on m'a dit, et que je sais maintenant vrai (avec libération) c'est que, premièrement, le bons sens vous dira que vous n'avez pas à boire 3 pintes d'eau consécutivement pour ingérer tout votre quota quotidien d'un seul coup. Deuxièmement, pendant la première semaine, votre fréquence urinaire augmentera alors que le corps et le foie s'ajustent à ce qui semble être (au départ) une augmentation temporaire de l'absorption de fluide. 

Mais ensuite deux choses se produisent. La première est que, lorsque vous modérez ou cessez d'absorber des breuvages alternatifs, le corps cesse de gaspiller des fluides pour assimiler la caféine et les autres toxines. Le deuxième et principal évènement est que la vessie et le système digestif s'ajustent à l'absorption quotidienne, de sorte que l'envie d'uriner devient moins fréquente et moins urgente. Sans aucun doute, les effets de la réhydratation du corps améliorent la santé de tous les systèmes, y compris le système d'élimination d'eau, de telle sorte que les problèmes de contrôle de vessie, d'incontinence, de "petites vessies", de "vessies timides", et ainsi de suite, deviennent des choses du passé. 

Le Dr. Batmanghelidj insiste sur le fait important que nos corps ont besoin d'eau - beaucoup plus que nous avons été habitués à consommer - et, dans sa diète à l'eau, il complète ce concept de base avec diverses recommandations dont l'ajout de sel dans l'eau, la consommation de jus d'orange, et la pratique d'une nutrition de base (aliments sains non-transformés), et l'utilisation du bon sens en général pour guider nos responsabilités personnelles envers notre santé individuelle. Mais la chose importante, le point central, le fondement de cette simple solution est : buvez plus d'eau (aucun substitut). 



Types d'eau 


Dans les parutions précédentes du Idaho Observer, nous avons publié des articles spécifiquement sur la qualité de l'eau que nous buvons - évitez l'eau du robinet de la municipalité (chloration, fluorisation, pesticides), testez votre eau de puit, filtrez votre eau - qui sont tous des points importants, particulièrement à une époque où la qualité de l'eau se détériore. 

Une autre amélioration supplémentaire que nous avons couverte dans nos parutions antérieures, est l'ajout de peroxyde d'hydrogène à l'eau que nous buvons pour aider à oxygéner le corps. 


Les options pour notre santé sont multiples. La plupart sont des choix qui font beaucoup de sens, mais qui, à cause de nos grandissantes options technologiques (choix de consommateurs), ont été perdus de vue. Des choses aussi simple que de manger des aliments non transformés et boire de l'eau - beaucoup d'eau. 








The Water Cure: It really is that simple
Idaho Observer, mai 2004


Source : WHALE www.whale.to
Traduction : Évolution Québec




© 2000-2006, Évolution Québe
Toute reproduction autorisée

mardi 28 mai 2013

INVITATION Fête familiale


VENEZ VOUS ÉCLATER!!!!!

Une fête familiale sur la rue des TOPAZES, ce samedi 1 Juin.
Jeux gonflable pour tous, même pour les grands enfant comme moi 
Animation: maquilleuse pour enfants de 13:00 à 14:30, la mascotte
Atelier de manucure conçu par des enfants de la place
Ambiance, plaisir à revendre, partage, connaissances, rires, etc!
Et
J'ouvres les portes de ma mini fermette à en devenir pour le plaisir de tous. 
15:00 en sourire : nous parlerons du droit des animaux et de la formation de notre comité pour que NOUS gardions Ste-Brigitte campagnard, calme, naturel et la meilleure ville innovatrice qui ne peut exister.

C'est un rendez-vous!!!

mardi 21 mai 2013

De brèves nouvelles


Pour ceux et celles à qui le mot PERMACULTURE ne dit rien, voici une bonne explication: 

La permaculture vise à concevoir des habitats humains écologiques, notamment des systèmes de production de nourriture. C’est une philosophie d’aménagement du territoire et de renfort de l’esprit de communauté qui s’efforce, par l’intégration harmonieuse des habitats humains, du micro-climat, des plantes annuelles et vivaces, des animaux, des sols et de l’eau, de créer des sociétés durables et productives. L’accent n’est pas seulement mis sur ces éléments eux-mêmes, mais surtout sur les relations qu’ils entretiennent entre eux par la façon dont ils sont placés dans le paysage ou le système à créer. Cette synergie est davantage mise en valeur par l’imitation de modèles trouvés dans la nature.
La permaculture est basée sur trois principes éthiques:
1) Prendre soin de la Terre,
2) Prendre soin des humains,
3) Limiter la consommation, la population et redistribuer les surplus.

Outre le zonage, en quoi nous dérangeons?
La ville vient de nous indiquer par une lettre enregistrer que nous devons respecter le zonage d'ici 20 jours. C'est absurde et bien trop court comme délais.

dimanche 19 mai 2013

Quand la détermination est là

Bon matin et surtout bon congé de 3 jours!!!!

Après une grosse semaine, j'ai enfin réussi à agrandir mon potager pour avoir de la diversité à offrir et à manger.  D'accord, je sais bien que mon potager est bien modeste, mais l'histoire de la "plainte" a tout chambouler notre projet.  J'ai tout de même décidé d'en réaliser une partie et l'an prochain ,si dieu le veut, nous aménagerons la majorité de notre terrain en un espace de vie extraordinairement éducatif pour tous.  Voici une partie des travaux d'agrandissement pour le moment:


Bientôt, vous pourrez contempler de la verdure et bien d'autres couleur.

Pendant que je travaillais à étendre la terre, les charmantes poules prenaient un bain de sable au soleil.  Ahhhhh!!!comme elles sont bien ses cocottes, vous trouvez pas?
Aujourd'hui, je prend une journée smooth avec mes filles.  Ça va me faire du bien

Profitez du soleil!!!!

mercredi 15 mai 2013

Le potager avance bien

Bon matin sous le soleil,

Voici des images de chez nous.  Quand on dit que sur une ferme, tout le monde doit mettre la main à la pâte!!!et bien, c'est bien vrai.  Constatez par vous même.


Elle a  vraiment fait un beau travail en plus.  Les poules se sont même mis de la partie.  Elles se faisaient aller le popotin pour trouver de quoi remplir leur bec et aider leur bonne amie jardinière.

Pendant ce temps, à l'intérieur, les nouveaux amours se prélassent sous la lampe chauffante.  Ah!!comme ils ont l'air bien.  Je prendrais bien une place à la chaleur moi aussi.






Même l'ado du voisin se met de la partie, il fait prendre une marche à Vanille la beauté du village.  Elle est tellement contente de pouvoir se balader.  Bientôt notre maréchal ferrant viendra lui préparer de belles chaussettes à son image.  Il m'apprendra à tailler les sabots.  Vais-je le faire par la,suite?  J'aimerais bien, mais...une histoire à suivre :) 

Quoi de mieux que PARTAGER!!!!


L’incroyable révolution potagère, ou l’exemple du potiron"


Élisabeth Schulthess, L'Alsace - Faire pousser des légumes en ville : les expériences se multiplient partout dans le monde, et dans la vallée rhénane. Pour renouer avec la nature, viser l’autosuffisance, tisser des liens. 

Dans un potiron, il y a 120 graines que l’on peut semer. Qui donneront 360 potirons si l’on ne garde que les trois plus beaux fruits. Qui donneront au bout de trois ans… 46 millions de graines. « Preuve que l’abondance est un état naturel », assure le mouvement des Incroyables comestibles.

- Partout en France et sur tous les continents -

Lancé il y a un an à Fréland, sur le modèle des «Incredible edible» de Todmorden (Angleterre), ce mouvement essaime partout en France et sur tous les continents. Déjà 150 groupes constitués, qui plantent, arrosent et partagent. Ils plantent sur l’espace public. Quand vient le temps de récolter, ils apposent l’affiche «Nourriture à partager». Car «l’abondance n’existe que quand elle est le fruit du partage», estime François Rouillay, de Colroy-la-Roche.
Transformer l’espace public en potager.

- Transformer l’espace public en potager -

«Après trois ans, la ville de Todmorden, frappée par le chômage de masse, réussit à couvrir ainsi 83 % de ses besoins alimentaires , expliquait François Rouillay le 27 avril à l’Unesco. Aujourd’hui, les jardiniers municipaux tondent les pelouses, taillent les arbres, arrosent les géraniums. Demain, ils pourraient planter des fruits et des légumes, transmettre leur savoir-faire aux citoyens, pour transformer l’espace public en un vaste potager gratuit. Une manière de bâtir un nouveau modèle de société éthique et solidaire, de relocaliser la production d’une nourriture de qualité sur un mode coopératif éco-responsable.»

L’agriculture urbaine, ce sont aussi les jardins partagés, les cultures sur les balcons, les terrasses et les toits plats, comme à Bâle, où l’association Urban farming coordonne une vingtaine d’initiatives prises par des habitants de tous âges, désireux de tisser de nouveaux liens sociaux, de se connecter à la terre.

C’est aussi l’expérience de Gartencoop à Fribourg-en-Brisgau, lancée en 2010. 260 familles ont investi ensemble 220 000 € pour faire tourner une coopérative de maraîchage bio sur 7,5 ha. Quatre professionnels y sont salariés, aidés par les coopérateurs qui se partagent les récoltes. Leurs buts : «Gagner en autonomie alimentaire, sortir de la logique des marchés…»


jeudi 9 mai 2013

Nouvelles encourageantes!!!!



Voici en primeur une nouvelle du journal de Chambly.  Quand le travail et la passion se lie d'amitié, ça peut donner de belles choses.  Constatez par vous-même...











Est-ce que Chambly deviendra la première ville québécoise à réglementer l’élevage de poules urbaines? Il semblerait que cela est possible. Lors de la séance du conseil municipal qui se déroulait le mardi 7 mai dernier, un avis de motion pour l’adoption d’un règlement sur le contrôle et la garde de poules en milieu urbain a été adopté.

Interrogée à ce sujet, la conseillère Lucette Robert a simplement indiqué qu’il était temps de baliser cette pratique qui est tolérée de toute manière sur le territoire de Chambly, mais également sur le territoire de plusieurs autres villes au Québec.
Le couple Dominic D’Aoust et Katrine Schuessler, résidents de Chambly, a soumis un projet de règlement à la municipalité le mardi 2 avril dernier lors de la séance du conseil municipal de la ville. Ils demandent à la ville de permettre, par règlement, l’élevage de poules urbaines à Chambly.
Actuellement, seulement quelques grandes villes canadiennes et américaines permettent l’élevage de poules en milieu urbain. New York, Chicago, Seattle ainsi que Vancouver, Victoria et Niagara Falls permettent cet élevage. Actuellement, le quartier Rosemont-Petite-Patrie de l’île de Montréal supporte un projet de poules urbaines dans le but de réglementer cet élevage sur son territoire.



Nathalie Pelletier
pelnath@hotmail.com
581-996-5325

Fientes comme engrais :)


Toute l’année, nos plantes ont besoin d’énergie pour grandir, produire leurs fleurs et leurs fruits. Que ce soit pour des potagères, des vivaces ou même les arbres d’un verger, on abonde la terre régulièrement afin d’apporter les compléments indispensables leur développement.
La fiente de poule est un excellent engrais riche en azote, en phosphore, en potassium et en calcium.Grâce à quelques poules, vous obtenez rapidement un engrais écologique et bon marché de très bonne qualité.
L’azote contenu dans la fiente de poule est rapidement disponible pour la plante qui l’absorbe très vite. Il en est de même pour les autres éléments fertilisants, présents en concentrations élevées.
Toutes les plantes en profiteront : maraîchages, vergers, prairies, vivaces … Les fientes sont aussi un apport intéressant et bien équilibré pour un bon départ végétatif des arbres.
En toute saison, il faut la collecter et la préparer ; car ce fabuleux engrais est idéalement utilisé de plusieurs façons :

Utilisation directe de la fiente de poule

En l’incorporant à la terre avec sa paille/copeaux usagés, la dégradation de la matière organique dans le sol permet la libération progressive d’éléments nutritifs (N, P et K). Un apport raisonné de fiente de poule permet un bon équilibre azote/carbone. Ce mélange a un effet positif sur le sol. Des analyses montrent l’effet bénéfique sur le pH, les teneurs en magnésium, phosphore et potassium, l’entretien du sol en calcium, ainsi que la capacité d’échanges cationique.
Attention à l’utiliser avec parcimonie car en grande concentration il peut "brûler" les racines des plantes. Sa teneur en azote est en effet la plus élevée de toutes les déjections animales.
Ce mélange, par la même occasion aèrera la terre qui sera ainsi mieux perméable aux racines.
La fiente peut être aussi utilisée l’été en paillage : retenir l’eau, limiter son évaporation, tout en nourrissant la plante !

Utilisation en compostage de la fiente de poule

En compostage, alternez des couches de déchets verts (type tonte de pelouse, feuilles) et de déchets du poulailler.
Arrosez régulièrement tous les 10 jours, ça marche très bien, vous obtiendrez un compost équilibré, c'est à dire 2/3 de carbone et 1/3 d'azote.
Vous pouvez aussi composter ‘a chaud’ c'est-à-dire pendant quelques semaines seulement avant son utilisation.
En compost « à froid » c’est à dire environ 6 mois, vous le rendrez moins "puissant"
Cette technique est idéale en hiver pour conserver cette fiente jusqu’au printemps suivant. En effet, si vous l’utilisez et qu’il pleut beaucoup, le lessivage de la terre par l’eau vous en fera perdre les bénéfices.

Attention, toutes les cultures n'apprécient pas les apports en fiente de poule de la même façon : ½ pelletée au m2 est généralement suffisante.
Source:
http://www.aujardin.info

Petits trucs naturels pour poules

Je voulais vous partager quelques trucs utiles pour préserver la santé de vos petites gallinacés.  Elles seront bien reconnaissantes et vous donnerons de délicieux oeufs.
Bonne journée!!!! ;)

Ail en curatif : écraser
grossièrement 8 gousses de taille moyenne et les jeter dans 1.5
litre d'eau chaude; laisser infuser une nuit ; filtrer ; diluer dans
l'eau de boisson (1.5 litre de mélange pour 25 litres de
boisson) et conserver la bouteille au frais et à l'obscurité.
L'ail :
Excellent vermifuge. Compter une à deux grosses gousses par poules. On peut l'écraser directement dans une pâtée ou le préparer en tisane (couper les gousses en deux puis les faire bouillir dans une casserole jusqu'à ce qu'elles deviennent molles, écraser ensuite les gousses dans la casserole. Verser la tisane et le reste d'ail dans l'eau de l'abreuvoir).

Vous pouvez aussi l'écraser et le mélanger dans la nourriture.
Quand : une fois tous les 2 ou 3 mois, toute l'année.

Le calcium :
La poule en consomme énormément pour fabriquer la coquille d'œuf. Les aliments pour pondeuses vendus en graineterie contiennent souvent de la coquille d'huîtres broyée pour l'apport en calcium. En cas d'œuf « mou » ou de coquille insuffisamment formée il faut augmenter l'apport en calcium dans la nourriture. N'importe quel coquillage peut être utilisé à défaut d'huîtres (même des coquilles d'escargots). Pour les écraser facilement, passez les au four.
Vous pouvez aussi redonner les coquilles d'œufs bien écrasées et mélangées à une pâtée afin que la poule n'identifie pas l'œuf (certaines poules pourraient avoir envie de manger leur œuf après la ponte).
Quand : tout le temps et surtout pour les pondeuses.

L'huile de foie de morue :
Excellent fortifiant bourré de vitamines (notamment la vitamine D qui aide à fixer le calcium). Elle aidera les poules à bien passer l'hiver ou pendant les période de mue. Une bonne cuillère à soupe dans une pâtée ou mélangé au grain.
Quand : une fois par mois (hiver, mue)

Le thym :
Utilisé en tisane comme antiseptique. Il permet de lutter contre les maladies infectieuses, facilite les fonctions digestives, élimine certains parasites intestinaux.
Quand : une fois par mois, surtout en période froide et humide.

Le vinaigre de cidre :
Sujet à bien des polémiques, il y a les pour et les contres mais ce n'est pas le sujet. En aviculture, il est surtout utilisé pour aider la poule à lutter contre la coccidiose. Une cuillère à soupe par litre d'eau.
Quand : 1 fois par mois surtout pendant les périodes chaudes de l'année.

lundi 6 mai 2013

Potager+monde scolaire=belle équation :)





WOW!! Des potager dans un monde scolaire, ca serait vraiment cool!!!!!:)
" Cultivés par moi-même dans mon jardin à l'école ! "

Le temps est venu qu'adultes et enfants réapprennent à cultiver leurs aliments...

vendredi 3 mai 2013

Autosuffisance alimentaire




Voici un extrait de journaux datant de 2007, qui est fort intéressant.  Dire que 6 ans après, nous en sommes pratiquement au même point.  Je sais que nous allons devoir nous battre contre certaines lois et règlements, mais nous allons travailler d'arrache pied pour continuer vers notre autosuffisance.  Comme dans bien des endroits, certains s'y opposent, nous mettent des bâtons dans les roues, mais étant décidé et n'ayant rien à perdre, je me lance dans l'aventure.  J'interprète les obstacles comme un défi à relever et une excellente façon de m'occuper l'esprit. 

Je suis heureuse de voir que beaucoup de gens appuient les mêmes idées et veulent voir du changement.  Oui! Nous entendons parler de nourriture bio, de compost, de fonte des glaciers, d'environnement, de recyclage, etc.  Selon moi, ce qui est important dans tout ça, c'est de pouvoir nous arrêter, de regarder autour de nous et de se poser certaines questions.  Est-ce que je suis heureux(se) de ma façon de vivre et de faire les choses?  Comment vivront mes descendants avec les choix que je fait aujourd'hui?  

Moi je me suis posé cette question, lorsque la maladie m'a obligé à arrêter et faire quelques mises au point.  Nous devrions pas attendre un tel moment avant d'y réfléchir.  Tout changement, qu'il soit positif ou négatif, n'est pas nécessairement facile, car il crée de l'incertitude.  Il suffit de passer ce petit moment, et de croire en nous sans hésitations pour arriver vers notre but.  

Ensemblent on peut y arriver, nous changerons les choses et en seront que tous gagnants.  

Je vous laisse ce texte qui en explique beaucoup sur le sujet....


Il y a urgence à retrouver notre autosuffisance alimentaire
Monique GAUDET
La Presse
dimanche 10 juin 2007


En marge des travaux de la Commission sur l’avenir de l’agriculture et de l’agroalimentaire, il faudra le courage et la volonté de changer les modèles établis. Et ce défi s’adresse aux agriculteurs, aux transformateurs, détaillants, gouvernements et aux consommateurs.
Aujourd’hui, ce que l’on met dans son assiette provient plus souvent d’ailleurs. Ailleurs, c’est à plusieurs milliers de kilomètres de chez soi, à l’extérieur de nos frontières. Alors que tout récemment, les épiceries offraient des produits en provenance de nos campagnes, maintenant devenues supermarchés, elles débordent de denrées alimentaires qui viennent d’aussi loin que la Chine. Trouver des aliments produits au Canada, relève parfois de l’exploit. Libre échange oblige.
Pourquoi devrions-nous manger du bœuf du Brésil, du porc des États–Unis, des fraises de Chine, des tomates et concombres du Mexique quand nous en produisons dans tout le pays ? Parce que tous ces aliments importés coûtent moins cher aux consommateurs ou parce qu’il est plus payant pour nos entreprises agroalimentaires d’exporter toute notre production agricole dans des pays qui offrent des marchés beaucoup plus grands que le nôtre ? Après tout, nous ne sommes que 33 millions d’habitants. Sauf que si on continue dans cette logique, d’ici peu, il ne restera presque plus de fermes familiales au Québec — il se perd environ 10 fermes par semaine — et que quelques grosses entreprises agricoles spécialisées qui seront à la merci des marchés extérieurs !
Lors d’une épidémie, les frontières se referment rapidement comme ce fut le cas pour la maladie de la vache folle en Angleterre et au Canada, avec la fièvre aphteuse qui a touché plusieurs élevages en Europe ou si une pandémie de grippe aviaire menace. Il y a aussi la peur du bio-terrorisme qui a fait augmenter les normes de sécurité et les coûts reliés à l’exportation. Il y a de plus les fluctuations de notre dollar qui fragilisent notre compétitivité et la rentabilité de nos entreprises. Toutes ces conditions font que l’exportation agroalimentaire est un secteur de l’économie très fragile.
Visons l’autosuffisance alimentaire avant d’exporter
Si on veut préserver l’agriculture, il est impératif de diversifier nos productions et de faire en sorte que nos produits se retrouvent de nouveau dans nos supermarchés. À défaut de mettre des barrières tarifaires, si le Canada exigeait que les produits agricoles importés respectent les mêmes normes de production que les nôtres, la concurrence serait plus équitable et notre santé serait mieux protégée.
Ainsi les États-Unis sont très exigeants quant aux produits importés. La peur du terrorisme oblige ! Cela ne nous empêche pas d’exporter chez eux : nous nous sommes pliés à leurs règles. Nous, on achète de toutes les provenances et aux meilleurs coûts. On ne se soucie pas ou peu de la qualité. Pourtant les méthodes de production sont bien différentes d’un pays à un autre. On a qu’à penser aux pesticides (ex. DDT en Chine ), aux médicaments, aux produits de conservation qui sont encore utilisés dans certains pays et bannis chez nous. Alors qu’on exige de nos agriculteurs des productions respectueuses de l’environnement, on ne se soucie pas de ce qui se fait ailleurs. Pourtant l’environnement est devenu une priorité à l’échelle planétaire. La mondialisation des marchés doit se faire dans un plus grand respect de la nature, c’est plus que jamais une question de survie .
On doit travailler à notre auto-suffisance alimentaire de concert avec le reste du Canada. Avant d’exporter nord-sud, nos gouvernements devraient favoriser, avec des programmes et politiques, les échanges est-ouest. C’est essentiel pour notre autonomie politique. Il faudra, pour revitaliser cette industrie, supporter les fermes familiales afin de préserver tout le savoir-faire issu de plusieurs générations. Aider les agriculteurs à reprendre le contrôle de leur production. Ramener dans les régions, les industries de transformation. Mieux informer les consommateurs sur ce qu’ils mangent. Promouvoir l’achat local, québécois et canadien.
Il y a beaucoup à faire et une urgence à le faire.
La force d’un pays réside dans sa capacité à se nourrir. Sinon nous deviendrons un pays du tiers-monde, dépendant des autres pour sa subsistance.
***
Monique Gaudet, Bsc. Agr.
Rivière-du-Loup.   

mercredi 1 mai 2013

Mon spot matinal


Ahhh!!!!les herbes indésirablent:

Voici comment désherber grâce au sel de cuisine. Le contact direct du sel et des mauvaises herbes entraîne un flétricement et une fin des petites poussent indésirables. Les ions de chlore contenus dans notre sel de table sont toxique pour les végétaux, alors introduisez ce petit bijou à coffret de jardinage. Bonne journée!!!

Je vous partage une découverte à essayer avec vos enfants:

La saison des pissenlits commence !
Rien ne se perd... c'est le moment de faire une LIQUEUR DE PISSENLIT !! oui !! 
Pour la liqueur de pissenlit, il nous faut:

- 4 L d'eau,
- 3 gros bols de fleurs de pissenlit,
- 200 g de raisins secs, 
- 4 oranges coupées et "non traitées",
- 4 citrons coupés et non "traités",
- 2 kg de sucre en poudre.

Préparation:

Plongez vos fleurs de pissenlit dans 4 L d'eau bouillante, laissez macérer 24 heures, et filtrez. Versez le tout (jus de pissenlit, oranges et citrons coupés, raisins secs et sucre) dans une bonbonne. Puis remuez tous les jours pendant 3 semaines, et filtrez. Gardez le produit ainsi obtenu en bouteilles pendant 8 semaines, mais attention, sans bouchon (car la fermentation continue, et il y aurait des risques)!!

C'est dit sans alcool, mais attention quand même!.. Et c'est à déguster frais, à l'apéro, pour que ces demoiselles adorent.
SOURCE : http://www.les-vegetaliseurs.com   par robinson2
Rien ne se perd... c'est le moment de faire une LIQUEUR DE PISSENLIT !! oui !! 
Pour la liqueur de pissenlit, il nous faut:

- 4 L d'eau,
- 3 gros bols de fleurs de pissenlit,
- 200 g de raisins secs, 
- 4 oranges coupées et "non traitées",
- 4 citrons coupés et non "traités",
- 2 kg de sucre en poudre.

Préparation:

Plongez vos fleurs de pissenlit dans 4 L d'eau bouillante, laissez macérer 24 heures, et filtrez. Versez le tout (jus de pissenlit, oranges et citrons coupés, raisins secs et sucre) dans une bonbonne. Puis remuez tous les jours pendant 3 semaines, et filtrez. Gardez le produit ainsi obtenu en bouteilles pendant 8 semaines, mais attention, sans bouchon (car la fermentation continue, et il y aurait des risques)!!

C'est dit sans alcool, mais attention quand même!.. Et c'est à déguster frais, à l'apéro, pour que ces demoiselles adorent.

mardi 30 avril 2013

Des intrus dans MON jardin



Bon matin ensoleillé,

                               L'automne dernier, j'avais préparé une petite plate-bande en forme de "bean" de toutes sortes de bulbes (fleur d'ail, narcisse, crocus,etc). D'adorables petites beautés douces pour un printemps fleuri.  Lorsque le soleil commenca à se faire plus chaud et faire fondre la neige, la hâte de voir les premières verdures se fit sentir.  À chaque journée, de beau temps, j'allais voir si mes bulbes se pointait le bout de la tige, mais je revenais bredouille à chaque fois.  Maintenant, que nous chatouillons le mois de Mai que les bourgeons remplissent les arbres, je crois bien que c'est peine perdu.  Mes compagnons forestiers se sont payé un joyeux festin avec mes bulbes.  Ces petits êtres poilus au nez fin ont tout dévoré, sans même que j'ai eu le temps d'admirer aucunes d'entre-elles.

J'imagine que la famille suisse devait bien rire à chaque fois que j'allais à la plate bande pour observer ou bouger la terre pour voir ce qui se passait.  Je suis certaine qu'ils ont parié sur le nombre de jour consécutif que j'allais me poster sur le bord.

J'espère qu'ils se sont délecté et bien rit de moi, car plus jamais je leur remettrai des bulbes à leur portée.

Alors, ce matin je boude mes amis suisse et j'irai pas m'installer à ma plante bande certain.  Je vais leur faire un pied de nez et leur planter un paquet de plantes envahissantes non comestible.  LOL!

Si vous attendiez vos bulbes printanier tout comme moi, alors n'allez pas croire que c'est la saison qui a tardé à s'installer.  Regardez et tendez l'oreille vous devez avoir des petites bêtes poilues qui rient à en avoir des crampes au ventre.


vendredi 26 avril 2013

Une suite...un questionnement



Pour faire suite au sujet d'hier concernant les poules de l'industrie, j'ai été intrigué de regarder ce que la MAPAC avait comme règlements à ce sujet.  Attention, roulement de tambour TTTRRRRAAATTAAAMMM! Voici un extrait tiré de la MAPAC:


La sécurité et le bien-être d’un animal sont jugés compromis dans les situations suivantes :
Il ne reçoit pas de l'eau et de la nourriture en quantité et en qualité suffisantes pour subvenir à ses besoins;
Il n'est pas gardé dans un habitat convenable et salubre;
Il ne reçoit pas les soins de santé appropriés quand il est blessé et malade;
Il n'est pas transporté convenablement dans un véhicule approprié s'il doit être déplacé;
Il est soumis à des abus ou à des mauvais traitements qui peuvent affecter sa santé.

Qu'en pensez vous?
Est-ce que vous croyez que ces règlements sont VRAIMENT respectés?



jeudi 25 avril 2013

Un brin d'actualité


POULES ÉLEVÉES EN CAGE (80 %)


En France, la majorité des poules élevées chaque année pour produire des œufs - plus de 80% - sont élevées industriellement. Elles vivent dans des hangars où elles sont détenues dans de longues rangées de cages, appelées cages en batteries. Leur nourriture est apportée devant les cages par des machines. Sans pouvoir marcher ou même étendre leurs ailes, elles y vivent en permanence sur une surface de 550cm2, plus étroite qu’une feuille de papier A4.
Pas très confortable, le sol grillagé des cages est incliné afin que les œufs roulent jusqu’à un tapis automatisé qui les achemine jusqu’à la salle de conditionnement, où ils sont mis en boîte. Les bâtiments d’élevage peuvent contenir de 10 000 à 70 000 oiseaux en cages. Un éclairage artificiel y reste allumé 16h par jour afin d’accélérer le rythme de ponte des poules, car à l’état sauvage elles pondent surtout au printemps lorsque les journées sont longues.
Dans ces cages, les poules sont stressées, serrées, et n’ont rien à faire. Cette situation engendre des comportements agressifs,comme le picage et le cannibalisme.Comme de nombreuses poules picorent leurs voisines de cage, on leur coupe la pointe du bec à la naissance pour en limiter les effets. Mais ces problèmes existent aussi parfois chez les poules élevées en plein air, lorsque les poules sont trop nombreuses, par exemple.
(voir la vidéo sur www.education.pmaf.org)
Les conditions de vie de ces poules ont conduit l’Union Européenne à établir des lois pour mieux les protéger à partir de 2012. Ainsi, suite à de longues discussions, les cages devront être équipées de petits perchoirs, de nids artificiels, et les poules devront disposer de 750 cm2. Les associations de protection des animaux réclament cependant l’interdiction de ces cages, car de nombreux problèmes de bien-être demeureront. En effet, la place gagnée est celle d’une carte postale.
En Suisse et en Autriche, par exemple, il est interdit d’élever des poules en cage. Comme les consommateurs qui refusent d’acheter des œufs de batterie sont de plus en plus nombreux,certains grands supermarchés en Angleterre, en Allemagne ou en Belgique cessent également de vendre ces œufs. Aux Pays-Bas, l’ensemble des supermarchés ont décidé de ne plus vendre d’œufs de poules en cage : un exemple à suivre !  À QUAND AU QUÉBEC......