mardi 28 mai 2013

INVITATION Fête familiale


VENEZ VOUS ÉCLATER!!!!!

Une fête familiale sur la rue des TOPAZES, ce samedi 1 Juin.
Jeux gonflable pour tous, même pour les grands enfant comme moi 
Animation: maquilleuse pour enfants de 13:00 à 14:30, la mascotte
Atelier de manucure conçu par des enfants de la place
Ambiance, plaisir à revendre, partage, connaissances, rires, etc!
Et
J'ouvres les portes de ma mini fermette à en devenir pour le plaisir de tous. 
15:00 en sourire : nous parlerons du droit des animaux et de la formation de notre comité pour que NOUS gardions Ste-Brigitte campagnard, calme, naturel et la meilleure ville innovatrice qui ne peut exister.

C'est un rendez-vous!!!

mardi 21 mai 2013

De brèves nouvelles


Pour ceux et celles à qui le mot PERMACULTURE ne dit rien, voici une bonne explication: 

La permaculture vise à concevoir des habitats humains écologiques, notamment des systèmes de production de nourriture. C’est une philosophie d’aménagement du territoire et de renfort de l’esprit de communauté qui s’efforce, par l’intégration harmonieuse des habitats humains, du micro-climat, des plantes annuelles et vivaces, des animaux, des sols et de l’eau, de créer des sociétés durables et productives. L’accent n’est pas seulement mis sur ces éléments eux-mêmes, mais surtout sur les relations qu’ils entretiennent entre eux par la façon dont ils sont placés dans le paysage ou le système à créer. Cette synergie est davantage mise en valeur par l’imitation de modèles trouvés dans la nature.
La permaculture est basée sur trois principes éthiques:
1) Prendre soin de la Terre,
2) Prendre soin des humains,
3) Limiter la consommation, la population et redistribuer les surplus.

Outre le zonage, en quoi nous dérangeons?
La ville vient de nous indiquer par une lettre enregistrer que nous devons respecter le zonage d'ici 20 jours. C'est absurde et bien trop court comme délais.

dimanche 19 mai 2013

Quand la détermination est là

Bon matin et surtout bon congé de 3 jours!!!!

Après une grosse semaine, j'ai enfin réussi à agrandir mon potager pour avoir de la diversité à offrir et à manger.  D'accord, je sais bien que mon potager est bien modeste, mais l'histoire de la "plainte" a tout chambouler notre projet.  J'ai tout de même décidé d'en réaliser une partie et l'an prochain ,si dieu le veut, nous aménagerons la majorité de notre terrain en un espace de vie extraordinairement éducatif pour tous.  Voici une partie des travaux d'agrandissement pour le moment:


Bientôt, vous pourrez contempler de la verdure et bien d'autres couleur.

Pendant que je travaillais à étendre la terre, les charmantes poules prenaient un bain de sable au soleil.  Ahhhhh!!!comme elles sont bien ses cocottes, vous trouvez pas?
Aujourd'hui, je prend une journée smooth avec mes filles.  Ça va me faire du bien

Profitez du soleil!!!!

mercredi 15 mai 2013

Le potager avance bien

Bon matin sous le soleil,

Voici des images de chez nous.  Quand on dit que sur une ferme, tout le monde doit mettre la main à la pâte!!!et bien, c'est bien vrai.  Constatez par vous même.


Elle a  vraiment fait un beau travail en plus.  Les poules se sont même mis de la partie.  Elles se faisaient aller le popotin pour trouver de quoi remplir leur bec et aider leur bonne amie jardinière.

Pendant ce temps, à l'intérieur, les nouveaux amours se prélassent sous la lampe chauffante.  Ah!!comme ils ont l'air bien.  Je prendrais bien une place à la chaleur moi aussi.






Même l'ado du voisin se met de la partie, il fait prendre une marche à Vanille la beauté du village.  Elle est tellement contente de pouvoir se balader.  Bientôt notre maréchal ferrant viendra lui préparer de belles chaussettes à son image.  Il m'apprendra à tailler les sabots.  Vais-je le faire par la,suite?  J'aimerais bien, mais...une histoire à suivre :) 

Quoi de mieux que PARTAGER!!!!


L’incroyable révolution potagère, ou l’exemple du potiron"


Élisabeth Schulthess, L'Alsace - Faire pousser des légumes en ville : les expériences se multiplient partout dans le monde, et dans la vallée rhénane. Pour renouer avec la nature, viser l’autosuffisance, tisser des liens. 

Dans un potiron, il y a 120 graines que l’on peut semer. Qui donneront 360 potirons si l’on ne garde que les trois plus beaux fruits. Qui donneront au bout de trois ans… 46 millions de graines. « Preuve que l’abondance est un état naturel », assure le mouvement des Incroyables comestibles.

- Partout en France et sur tous les continents -

Lancé il y a un an à Fréland, sur le modèle des «Incredible edible» de Todmorden (Angleterre), ce mouvement essaime partout en France et sur tous les continents. Déjà 150 groupes constitués, qui plantent, arrosent et partagent. Ils plantent sur l’espace public. Quand vient le temps de récolter, ils apposent l’affiche «Nourriture à partager». Car «l’abondance n’existe que quand elle est le fruit du partage», estime François Rouillay, de Colroy-la-Roche.
Transformer l’espace public en potager.

- Transformer l’espace public en potager -

«Après trois ans, la ville de Todmorden, frappée par le chômage de masse, réussit à couvrir ainsi 83 % de ses besoins alimentaires , expliquait François Rouillay le 27 avril à l’Unesco. Aujourd’hui, les jardiniers municipaux tondent les pelouses, taillent les arbres, arrosent les géraniums. Demain, ils pourraient planter des fruits et des légumes, transmettre leur savoir-faire aux citoyens, pour transformer l’espace public en un vaste potager gratuit. Une manière de bâtir un nouveau modèle de société éthique et solidaire, de relocaliser la production d’une nourriture de qualité sur un mode coopératif éco-responsable.»

L’agriculture urbaine, ce sont aussi les jardins partagés, les cultures sur les balcons, les terrasses et les toits plats, comme à Bâle, où l’association Urban farming coordonne une vingtaine d’initiatives prises par des habitants de tous âges, désireux de tisser de nouveaux liens sociaux, de se connecter à la terre.

C’est aussi l’expérience de Gartencoop à Fribourg-en-Brisgau, lancée en 2010. 260 familles ont investi ensemble 220 000 € pour faire tourner une coopérative de maraîchage bio sur 7,5 ha. Quatre professionnels y sont salariés, aidés par les coopérateurs qui se partagent les récoltes. Leurs buts : «Gagner en autonomie alimentaire, sortir de la logique des marchés…»


jeudi 9 mai 2013

Nouvelles encourageantes!!!!



Voici en primeur une nouvelle du journal de Chambly.  Quand le travail et la passion se lie d'amitié, ça peut donner de belles choses.  Constatez par vous-même...











Est-ce que Chambly deviendra la première ville québécoise à réglementer l’élevage de poules urbaines? Il semblerait que cela est possible. Lors de la séance du conseil municipal qui se déroulait le mardi 7 mai dernier, un avis de motion pour l’adoption d’un règlement sur le contrôle et la garde de poules en milieu urbain a été adopté.

Interrogée à ce sujet, la conseillère Lucette Robert a simplement indiqué qu’il était temps de baliser cette pratique qui est tolérée de toute manière sur le territoire de Chambly, mais également sur le territoire de plusieurs autres villes au Québec.
Le couple Dominic D’Aoust et Katrine Schuessler, résidents de Chambly, a soumis un projet de règlement à la municipalité le mardi 2 avril dernier lors de la séance du conseil municipal de la ville. Ils demandent à la ville de permettre, par règlement, l’élevage de poules urbaines à Chambly.
Actuellement, seulement quelques grandes villes canadiennes et américaines permettent l’élevage de poules en milieu urbain. New York, Chicago, Seattle ainsi que Vancouver, Victoria et Niagara Falls permettent cet élevage. Actuellement, le quartier Rosemont-Petite-Patrie de l’île de Montréal supporte un projet de poules urbaines dans le but de réglementer cet élevage sur son territoire.



Nathalie Pelletier
pelnath@hotmail.com
581-996-5325

Fientes comme engrais :)


Toute l’année, nos plantes ont besoin d’énergie pour grandir, produire leurs fleurs et leurs fruits. Que ce soit pour des potagères, des vivaces ou même les arbres d’un verger, on abonde la terre régulièrement afin d’apporter les compléments indispensables leur développement.
La fiente de poule est un excellent engrais riche en azote, en phosphore, en potassium et en calcium.Grâce à quelques poules, vous obtenez rapidement un engrais écologique et bon marché de très bonne qualité.
L’azote contenu dans la fiente de poule est rapidement disponible pour la plante qui l’absorbe très vite. Il en est de même pour les autres éléments fertilisants, présents en concentrations élevées.
Toutes les plantes en profiteront : maraîchages, vergers, prairies, vivaces … Les fientes sont aussi un apport intéressant et bien équilibré pour un bon départ végétatif des arbres.
En toute saison, il faut la collecter et la préparer ; car ce fabuleux engrais est idéalement utilisé de plusieurs façons :

Utilisation directe de la fiente de poule

En l’incorporant à la terre avec sa paille/copeaux usagés, la dégradation de la matière organique dans le sol permet la libération progressive d’éléments nutritifs (N, P et K). Un apport raisonné de fiente de poule permet un bon équilibre azote/carbone. Ce mélange a un effet positif sur le sol. Des analyses montrent l’effet bénéfique sur le pH, les teneurs en magnésium, phosphore et potassium, l’entretien du sol en calcium, ainsi que la capacité d’échanges cationique.
Attention à l’utiliser avec parcimonie car en grande concentration il peut "brûler" les racines des plantes. Sa teneur en azote est en effet la plus élevée de toutes les déjections animales.
Ce mélange, par la même occasion aèrera la terre qui sera ainsi mieux perméable aux racines.
La fiente peut être aussi utilisée l’été en paillage : retenir l’eau, limiter son évaporation, tout en nourrissant la plante !

Utilisation en compostage de la fiente de poule

En compostage, alternez des couches de déchets verts (type tonte de pelouse, feuilles) et de déchets du poulailler.
Arrosez régulièrement tous les 10 jours, ça marche très bien, vous obtiendrez un compost équilibré, c'est à dire 2/3 de carbone et 1/3 d'azote.
Vous pouvez aussi composter ‘a chaud’ c'est-à-dire pendant quelques semaines seulement avant son utilisation.
En compost « à froid » c’est à dire environ 6 mois, vous le rendrez moins "puissant"
Cette technique est idéale en hiver pour conserver cette fiente jusqu’au printemps suivant. En effet, si vous l’utilisez et qu’il pleut beaucoup, le lessivage de la terre par l’eau vous en fera perdre les bénéfices.

Attention, toutes les cultures n'apprécient pas les apports en fiente de poule de la même façon : ½ pelletée au m2 est généralement suffisante.
Source:
http://www.aujardin.info

Petits trucs naturels pour poules

Je voulais vous partager quelques trucs utiles pour préserver la santé de vos petites gallinacés.  Elles seront bien reconnaissantes et vous donnerons de délicieux oeufs.
Bonne journée!!!! ;)

Ail en curatif : écraser
grossièrement 8 gousses de taille moyenne et les jeter dans 1.5
litre d'eau chaude; laisser infuser une nuit ; filtrer ; diluer dans
l'eau de boisson (1.5 litre de mélange pour 25 litres de
boisson) et conserver la bouteille au frais et à l'obscurité.
L'ail :
Excellent vermifuge. Compter une à deux grosses gousses par poules. On peut l'écraser directement dans une pâtée ou le préparer en tisane (couper les gousses en deux puis les faire bouillir dans une casserole jusqu'à ce qu'elles deviennent molles, écraser ensuite les gousses dans la casserole. Verser la tisane et le reste d'ail dans l'eau de l'abreuvoir).

Vous pouvez aussi l'écraser et le mélanger dans la nourriture.
Quand : une fois tous les 2 ou 3 mois, toute l'année.

Le calcium :
La poule en consomme énormément pour fabriquer la coquille d'œuf. Les aliments pour pondeuses vendus en graineterie contiennent souvent de la coquille d'huîtres broyée pour l'apport en calcium. En cas d'œuf « mou » ou de coquille insuffisamment formée il faut augmenter l'apport en calcium dans la nourriture. N'importe quel coquillage peut être utilisé à défaut d'huîtres (même des coquilles d'escargots). Pour les écraser facilement, passez les au four.
Vous pouvez aussi redonner les coquilles d'œufs bien écrasées et mélangées à une pâtée afin que la poule n'identifie pas l'œuf (certaines poules pourraient avoir envie de manger leur œuf après la ponte).
Quand : tout le temps et surtout pour les pondeuses.

L'huile de foie de morue :
Excellent fortifiant bourré de vitamines (notamment la vitamine D qui aide à fixer le calcium). Elle aidera les poules à bien passer l'hiver ou pendant les période de mue. Une bonne cuillère à soupe dans une pâtée ou mélangé au grain.
Quand : une fois par mois (hiver, mue)

Le thym :
Utilisé en tisane comme antiseptique. Il permet de lutter contre les maladies infectieuses, facilite les fonctions digestives, élimine certains parasites intestinaux.
Quand : une fois par mois, surtout en période froide et humide.

Le vinaigre de cidre :
Sujet à bien des polémiques, il y a les pour et les contres mais ce n'est pas le sujet. En aviculture, il est surtout utilisé pour aider la poule à lutter contre la coccidiose. Une cuillère à soupe par litre d'eau.
Quand : 1 fois par mois surtout pendant les périodes chaudes de l'année.

lundi 6 mai 2013

Potager+monde scolaire=belle équation :)





WOW!! Des potager dans un monde scolaire, ca serait vraiment cool!!!!!:)
" Cultivés par moi-même dans mon jardin à l'école ! "

Le temps est venu qu'adultes et enfants réapprennent à cultiver leurs aliments...

vendredi 3 mai 2013

Autosuffisance alimentaire




Voici un extrait de journaux datant de 2007, qui est fort intéressant.  Dire que 6 ans après, nous en sommes pratiquement au même point.  Je sais que nous allons devoir nous battre contre certaines lois et règlements, mais nous allons travailler d'arrache pied pour continuer vers notre autosuffisance.  Comme dans bien des endroits, certains s'y opposent, nous mettent des bâtons dans les roues, mais étant décidé et n'ayant rien à perdre, je me lance dans l'aventure.  J'interprète les obstacles comme un défi à relever et une excellente façon de m'occuper l'esprit. 

Je suis heureuse de voir que beaucoup de gens appuient les mêmes idées et veulent voir du changement.  Oui! Nous entendons parler de nourriture bio, de compost, de fonte des glaciers, d'environnement, de recyclage, etc.  Selon moi, ce qui est important dans tout ça, c'est de pouvoir nous arrêter, de regarder autour de nous et de se poser certaines questions.  Est-ce que je suis heureux(se) de ma façon de vivre et de faire les choses?  Comment vivront mes descendants avec les choix que je fait aujourd'hui?  

Moi je me suis posé cette question, lorsque la maladie m'a obligé à arrêter et faire quelques mises au point.  Nous devrions pas attendre un tel moment avant d'y réfléchir.  Tout changement, qu'il soit positif ou négatif, n'est pas nécessairement facile, car il crée de l'incertitude.  Il suffit de passer ce petit moment, et de croire en nous sans hésitations pour arriver vers notre but.  

Ensemblent on peut y arriver, nous changerons les choses et en seront que tous gagnants.  

Je vous laisse ce texte qui en explique beaucoup sur le sujet....


Il y a urgence à retrouver notre autosuffisance alimentaire
Monique GAUDET
La Presse
dimanche 10 juin 2007


En marge des travaux de la Commission sur l’avenir de l’agriculture et de l’agroalimentaire, il faudra le courage et la volonté de changer les modèles établis. Et ce défi s’adresse aux agriculteurs, aux transformateurs, détaillants, gouvernements et aux consommateurs.
Aujourd’hui, ce que l’on met dans son assiette provient plus souvent d’ailleurs. Ailleurs, c’est à plusieurs milliers de kilomètres de chez soi, à l’extérieur de nos frontières. Alors que tout récemment, les épiceries offraient des produits en provenance de nos campagnes, maintenant devenues supermarchés, elles débordent de denrées alimentaires qui viennent d’aussi loin que la Chine. Trouver des aliments produits au Canada, relève parfois de l’exploit. Libre échange oblige.
Pourquoi devrions-nous manger du bœuf du Brésil, du porc des États–Unis, des fraises de Chine, des tomates et concombres du Mexique quand nous en produisons dans tout le pays ? Parce que tous ces aliments importés coûtent moins cher aux consommateurs ou parce qu’il est plus payant pour nos entreprises agroalimentaires d’exporter toute notre production agricole dans des pays qui offrent des marchés beaucoup plus grands que le nôtre ? Après tout, nous ne sommes que 33 millions d’habitants. Sauf que si on continue dans cette logique, d’ici peu, il ne restera presque plus de fermes familiales au Québec — il se perd environ 10 fermes par semaine — et que quelques grosses entreprises agricoles spécialisées qui seront à la merci des marchés extérieurs !
Lors d’une épidémie, les frontières se referment rapidement comme ce fut le cas pour la maladie de la vache folle en Angleterre et au Canada, avec la fièvre aphteuse qui a touché plusieurs élevages en Europe ou si une pandémie de grippe aviaire menace. Il y a aussi la peur du bio-terrorisme qui a fait augmenter les normes de sécurité et les coûts reliés à l’exportation. Il y a de plus les fluctuations de notre dollar qui fragilisent notre compétitivité et la rentabilité de nos entreprises. Toutes ces conditions font que l’exportation agroalimentaire est un secteur de l’économie très fragile.
Visons l’autosuffisance alimentaire avant d’exporter
Si on veut préserver l’agriculture, il est impératif de diversifier nos productions et de faire en sorte que nos produits se retrouvent de nouveau dans nos supermarchés. À défaut de mettre des barrières tarifaires, si le Canada exigeait que les produits agricoles importés respectent les mêmes normes de production que les nôtres, la concurrence serait plus équitable et notre santé serait mieux protégée.
Ainsi les États-Unis sont très exigeants quant aux produits importés. La peur du terrorisme oblige ! Cela ne nous empêche pas d’exporter chez eux : nous nous sommes pliés à leurs règles. Nous, on achète de toutes les provenances et aux meilleurs coûts. On ne se soucie pas ou peu de la qualité. Pourtant les méthodes de production sont bien différentes d’un pays à un autre. On a qu’à penser aux pesticides (ex. DDT en Chine ), aux médicaments, aux produits de conservation qui sont encore utilisés dans certains pays et bannis chez nous. Alors qu’on exige de nos agriculteurs des productions respectueuses de l’environnement, on ne se soucie pas de ce qui se fait ailleurs. Pourtant l’environnement est devenu une priorité à l’échelle planétaire. La mondialisation des marchés doit se faire dans un plus grand respect de la nature, c’est plus que jamais une question de survie .
On doit travailler à notre auto-suffisance alimentaire de concert avec le reste du Canada. Avant d’exporter nord-sud, nos gouvernements devraient favoriser, avec des programmes et politiques, les échanges est-ouest. C’est essentiel pour notre autonomie politique. Il faudra, pour revitaliser cette industrie, supporter les fermes familiales afin de préserver tout le savoir-faire issu de plusieurs générations. Aider les agriculteurs à reprendre le contrôle de leur production. Ramener dans les régions, les industries de transformation. Mieux informer les consommateurs sur ce qu’ils mangent. Promouvoir l’achat local, québécois et canadien.
Il y a beaucoup à faire et une urgence à le faire.
La force d’un pays réside dans sa capacité à se nourrir. Sinon nous deviendrons un pays du tiers-monde, dépendant des autres pour sa subsistance.
***
Monique Gaudet, Bsc. Agr.
Rivière-du-Loup.   

mercredi 1 mai 2013

Mon spot matinal


Ahhh!!!!les herbes indésirablent:

Voici comment désherber grâce au sel de cuisine. Le contact direct du sel et des mauvaises herbes entraîne un flétricement et une fin des petites poussent indésirables. Les ions de chlore contenus dans notre sel de table sont toxique pour les végétaux, alors introduisez ce petit bijou à coffret de jardinage. Bonne journée!!!

Je vous partage une découverte à essayer avec vos enfants:

La saison des pissenlits commence !
Rien ne se perd... c'est le moment de faire une LIQUEUR DE PISSENLIT !! oui !! 
Pour la liqueur de pissenlit, il nous faut:

- 4 L d'eau,
- 3 gros bols de fleurs de pissenlit,
- 200 g de raisins secs, 
- 4 oranges coupées et "non traitées",
- 4 citrons coupés et non "traités",
- 2 kg de sucre en poudre.

Préparation:

Plongez vos fleurs de pissenlit dans 4 L d'eau bouillante, laissez macérer 24 heures, et filtrez. Versez le tout (jus de pissenlit, oranges et citrons coupés, raisins secs et sucre) dans une bonbonne. Puis remuez tous les jours pendant 3 semaines, et filtrez. Gardez le produit ainsi obtenu en bouteilles pendant 8 semaines, mais attention, sans bouchon (car la fermentation continue, et il y aurait des risques)!!

C'est dit sans alcool, mais attention quand même!.. Et c'est à déguster frais, à l'apéro, pour que ces demoiselles adorent.
SOURCE : http://www.les-vegetaliseurs.com   par robinson2
Rien ne se perd... c'est le moment de faire une LIQUEUR DE PISSENLIT !! oui !! 
Pour la liqueur de pissenlit, il nous faut:

- 4 L d'eau,
- 3 gros bols de fleurs de pissenlit,
- 200 g de raisins secs, 
- 4 oranges coupées et "non traitées",
- 4 citrons coupés et non "traités",
- 2 kg de sucre en poudre.

Préparation:

Plongez vos fleurs de pissenlit dans 4 L d'eau bouillante, laissez macérer 24 heures, et filtrez. Versez le tout (jus de pissenlit, oranges et citrons coupés, raisins secs et sucre) dans une bonbonne. Puis remuez tous les jours pendant 3 semaines, et filtrez. Gardez le produit ainsi obtenu en bouteilles pendant 8 semaines, mais attention, sans bouchon (car la fermentation continue, et il y aurait des risques)!!

C'est dit sans alcool, mais attention quand même!.. Et c'est à déguster frais, à l'apéro, pour que ces demoiselles adorent.